tenir des élections dans pas plus de deux ans, cela ne devrait pas poser de problème."
Des politiciens de l'opposition vivant en exil à Paris ont vivement protesté mardi contre leur exclusion des négociations de Gaborone et ont menacé de prendre les armes, a rapporté l'AFP. "L'opposition politique non armée en exil déclare qu'elle ne manque ni de moyens ni de volonté à se montrer belligérante en prenant les armes, tout à fait contre son gré, afin d'exprimer son point de vue," a indiqué un groupe de 15 anciens ministres et députés, dans un communiqué parvenu à l'AFP.
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