Les pourparlers de paix pour mettre en place un gouvernement transitoire de partage du pouvoir en République démocratique du Congo (RDC), ont été
ajournés samedi, et les parties se réuniront à nouveau le 9 décembre dans la capitale administrative de l'Afrique du Sud, Pretoria, dans l'espoir de terminer alors leur travail, a rapporté le Gouvernement de l'Afrique du Sud.
Le Gouvernement sud-africain a annoncé que les négociateurs ont enregistré de "bons progrès" durant la dernière semaine, et que les parties sont "parvenues à une compréhension des principes qui animeront le fonctionnement
du Gouvernement de transition (de la RDC)".
Durant ce temps, un certain nombre de comités ont été formés dans un effort
pour trouver des solutions aux problèmes en suspens, lorsque les parties se réuniront à nouveau.
Par ailleurs, dans un développement apparenté, Roger Lumbala, le chef d'une petite faction rebelle basée au nord-est de la RDC, le Rassemblement
congolais pour la démocratie - National (RCD-N), a informé dimanche l'Agence France Presse (AFP) que son mouvement s'était retiré des pourparlers.
"Confrontés aux attaques incessantes des forces du Gouvernement de Kinshasa et de leurs alliés du RCD-K-ML [Rassemblement congolais pour la démocratie - Kisangani - Mouvement de libération, de Mbusa Nyamwisi], nous nous retirons jusqu'à la prochaine ronde de négociations à Pretoria", a-t-il déclaré depuis la capitale rwandaise, Kigali, tel que cité par l'AFP.
Il n'était toutefois pas immédiatement évident que cette décision aurait un quelconque effet sur les pourparlers.
Durant ce temps, une station radiophonique contrôlée par les rebelles, Radio Candip, a révélé le 22 novembre, depuis la ville de Bunia, au nord-est du pays, que le "gouverneur" de l'Ituri, Joseph Eneko Ngwaza, avait été abattu,
de même que neuf gardes du corps, lors d'une embuscade survenue le 21
novembre. Sa dépouille a été enterrée lundi à Aru, également au nord-est de
la RDC.
La ville de Bunia est contrôlée par l'Union des patriotes congolais, de
Thomas Lubanga, une faction dissidente du RCD-K-ML qui contrôle - en coopération avec ses alliés, les forces Maï Maï - une grande partie de la région environnante.
ajournés samedi, et les parties se réuniront à nouveau le 9 décembre dans la capitale administrative de l'Afrique du Sud, Pretoria, dans l'espoir de terminer alors leur travail, a rapporté le Gouvernement de l'Afrique du Sud.
Le Gouvernement sud-africain a annoncé que les négociateurs ont enregistré de "bons progrès" durant la dernière semaine, et que les parties sont "parvenues à une compréhension des principes qui animeront le fonctionnement
du Gouvernement de transition (de la RDC)".
Durant ce temps, un certain nombre de comités ont été formés dans un effort
pour trouver des solutions aux problèmes en suspens, lorsque les parties se réuniront à nouveau.
Par ailleurs, dans un développement apparenté, Roger Lumbala, le chef d'une petite faction rebelle basée au nord-est de la RDC, le Rassemblement
congolais pour la démocratie - National (RCD-N), a informé dimanche l'Agence France Presse (AFP) que son mouvement s'était retiré des pourparlers.
"Confrontés aux attaques incessantes des forces du Gouvernement de Kinshasa et de leurs alliés du RCD-K-ML [Rassemblement congolais pour la démocratie - Kisangani - Mouvement de libération, de Mbusa Nyamwisi], nous nous retirons jusqu'à la prochaine ronde de négociations à Pretoria", a-t-il déclaré depuis la capitale rwandaise, Kigali, tel que cité par l'AFP.
Il n'était toutefois pas immédiatement évident que cette décision aurait un quelconque effet sur les pourparlers.
Durant ce temps, une station radiophonique contrôlée par les rebelles, Radio Candip, a révélé le 22 novembre, depuis la ville de Bunia, au nord-est du pays, que le "gouverneur" de l'Ituri, Joseph Eneko Ngwaza, avait été abattu,
de même que neuf gardes du corps, lors d'une embuscade survenue le 21
novembre. Sa dépouille a été enterrée lundi à Aru, également au nord-est de
la RDC.
La ville de Bunia est contrôlée par l'Union des patriotes congolais, de
Thomas Lubanga, une faction dissidente du RCD-K-ML qui contrôle - en coopération avec ses alliés, les forces Maï Maï - une grande partie de la région environnante.
This article was produced by IRIN News while it was part of the United Nations Office for the Coordination of Humanitarian Affairs. Please send queries on copyright or liability to the UN. For more information: https://shop.un.org/rights-permissions
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