Jean-Pierre Lola Kisanga, porte-parole du Rassemblement congolais pour la démocratie (RCD-Goma), a déclaré que M. Ngongi n'était "plus persona non grata sur le territoire contrôlé par le RCD", ont rapporté des services de nouvelles. M. Kisanga a aussi invité M. Ngongi à se rendre dans la ville de Goma, siège du RCD-Goma, pour rétablir leurs relations.
M. Ngongi, qui dirige aussi la MONUC, a été accusé de partialité et déclaré
persona non grata le 28 mai, après que le groupe rebelle se soit senti
offensé par un rapport préliminaire de la MONUC sur une mutinerie survenue au sein du RCD-Goma, à Kisangani, du 14 au 21 mai.
Dans ce rapport, la MONUC accusait le RCD-Goma d'avoir commis "des
violations graves des droits de l'homme et du droit humanitaire" en
réprimant le soulèvement.
This article was produced by IRIN News while it was part of the United Nations Office for the Coordination of Humanitarian Affairs. Please send queries on copyright or liability to the UN. For more information: https://shop.un.org/rights-permissions