en tant que médiateur des pourparlers et a indiqué que les FDD pourraient
être favorables à la mise en place d'un cessez-le-feu.
S'exprimant vendredi sur les ondes de la Radio Publique Africaine du Burundi, M. Ndayikengurukiye a indiqué que les FDD étaient "prêtes à initier un processus de paix [...] Nous discuterons des contraintes et si nous parvenons à nous mettre d'accord entre nous, je ne vois pas de problème à
l'instauration d'un cessez-le-feu".
Bien qu'aucun accord n'ait été conclu à Pretoria concernant les deux
principales questions à l'ordre du jour - à savoir la composition d'une force de maintien de la paix armée et la mise en place d'un cessez-le-feu - la réunion avait le mérite de réunir des représentants des principaux groupes de l'opposition armée hutue au Burundi, les FDD et les Forces nationales pour la libération (FNL). Aucun de ces partis n'a ratifié l'accord de paix d'Arusha sur le Burundi, signé à Arusha, en Tanzanie, en août 2000. Un gouvernement de
transition avec partage du pouvoir entre Hutus et Tutsis doit être mis en
place le 1er novembre.
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