« La plupart d'entre eux, décrits comme des victimes de la traite humaine, seront réhabilités et réinsérés dès leur retour », a ajouté le journal.
Le gouvernement proposera également un cadre juridique efficace tendant à combattre la menace, a souligné le ministre d'Etat à la justice, Abdullahi Musa Elayo, lors de l'inauguration d'un atelier. Le gouvernement va garantir l'extradition des « barons de la traite humaine » pour qu'ils soient confrontés à la loi et à des sanctions fermes.
M. Obasanjo a inauguré l'équipe spéciale le 23 août lorsque la coordinatrice de la 'Women Trafficking and Child Labour Eradication Foundation', Titi Atiku Abubakar, épouse du vice-président, était retournée au pays avec 33 victimes du commerce illicite.
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