Selon Mwema Teli, agent du département d'hygiène et de sécurité du travail de la Générale des carrières de mines (GECAMINES), la société semi-publique congolaise qui gère l'exploitation minière dans la région, six survivants ont pu être tirés sains et saufs des décombres.
Cependant, selon Teli, qui est arrivé sur place une heure après éboulement, "[...] il en restait encore d'autres enfouis dans les décombres".
Un mineur qui n'a pas souhaité être nommé a indiqué lundi par téléphone depuis Shikolbwe qu'une trentaine de personnes étaient prises sous les décombres.
Le gouvernement congolais a fermé la mine de Shinkolobwe en février. Mais de nombreux mineurs artisanaux continuent d'exploiter la mine sans autorisation.
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