L'OMS a poursuivi que 33 cas ont été confirmés, 20 au Gabon et 13 dans des villages congolais aux abords de la frontière entre les deux pays. Quinze autres cas sont l'objet d'une enquête. Toutes les personnes ayant eu un contact direct ou suspecté avec du sang ou d'autres sécrétions des cas d'Ebola ont été en observation durant 21 jours. Elle a aussi informé que 247 personnes faisaient l'objet d'un « suivi actif » dans les deux pays.
Une équipe d'experts médicaux continue de collaborer étroitement avec des responsables du ministère de la Santé des deux côtés de la frontière, a rapporté l'OMS. « La Société de la Croix-Rouge gabonaise conduit des activités d'éducation sanitaire dans les villages gabonais », a-t-elle souligné.
L'Ebola, qui porte le nom d'une rivière de la République démocratique du Congo où le virus avait été initialement découvert en 1976, est transmis par le contact direct avec des sécrétions des personnes infectées. Il n'a pas de traitement et, entre 50 et 90 pour cent des victimes en meurent.
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