« Il s’agit d’un geste humanitaire, mais cela permettra également de mettre fin à la contrebande de bétail depuis l’Egypte vers Gaza, [du bétail] qui pourrait être infecté par des maladies et contaminer les troupeaux israéliens », a dit M. Simchon.
Le bœuf est considéré comme un aliment de luxe par le ministère israélien de la Défense, et son importation régulière n’est donc pas autorisée, dans le cadre des sanctions imposées par Israël à la bande de Gaza. Les éleveurs israéliens, qui ont élevé tous les veaux concernés et s’attendent à bénéficier financièrement du transfert, ont fait pression auprès du gouvernement israélien pour que cette opération soit autorisée.
L’ONG (organisation non gouvernementale) Gisha, centre juridique pour la liberté de mouvement, a lancé une pétition dénonçant, en vertu de la loi sur la liberté d’information, le manque de contrôle public, qui suscite des interrogations quant à la régularité des transferts de biens vers Gaza. La pétition a été déposée suite à six mois de tentatives visant à obtenir des informations concernant l’entrée de denrées alimentaires et d’autres produits dans Gaza.
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