Dans une circulaire sur le processus électoral, la Ligue congolaise pour les systèmes électoraux, l'Observatoire congolais des droits humains, l'Association pour les droits de l'homme et l'environnement carcéral, et la Convention nationale des droits de l'homme ont accusé le gouvernement de violer la loi électorale de janvier 1992 en établissant un registre administratif des électeurs pour préparer les élections.
La loi électorale prévoit la mise en place d'un comité de supervision pour surveiller et contrôler toutes les opérations de vote sous l'autorité du parlement transitoire. Le ministre congolais de l'intérieur, Pierre Oba, a récemment déclaré à des diplomates que le recensement organisé par le gouvernement était une initiative purement administrative. Aucune date n'a été fixée pour les élections.
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