A l'occasion d'un rassemblement de 500 chefs musulmans, il a indiqué que l'Ahmadiyya interférait dans la vie politique du pays, a ajouté 'Lusa'. La réunion avait été convoquée, a-t-il poursuivi, pour expliquer la décision de M. Yala de suspendre les activités de l'Ahmadiyya. La décision a provoqué la démission du conseiller de M. Yala pour les affaires religieuses, Sory Djalo, qui n'avait pas été consulté à cet égard, a informé 'Lusa'.
L'Ahmadiyya existe en Guinée-Bissau depuis 1995. 'Lusa' a encore rapporté que sa doctrine, considérée non orthodoxe, était inacceptable pour la majorité musulmane. L'Ahmadiyya ne reconnaît pas le pélerinage à la Mecque comme l'un des piliers de l'Islam et proclame que son fondateur, Ahmady, est aussi un prophète.
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