"C'est faux", a-t-il affirmé à IRIN.
Il a néanmoins admis qu'une "petite quantité' de munitions d'armes de petit calibre avait disparu des Services de la Caserne, un département au sein de l'armée qui stocke et contrôle des produits tels que carburant, huile, véhicules, literies et un certain type de munitions. L'armée a sollicité une enquête de la police civile car elle ne voudrait pas alarmer le public ou susciter de la suspicion. Même s'il n'y avait pas lieu de s'alarmer, a-t-il indiqué, l'armée a traité très sérieusement toutes les questions en rapport avec les munitions, "même à blanc".
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