Jorgen Rasmussen, PDG du groupe DLH, a fait l’annonce un jour après que trois ONG - Greanpeace, Global Witness et Nepenthes, lui ont demandé de cesser de traiter avec des entreprises d’exploitation forestière impliquées dans le trafic d’armes par les Nations Unies.
Ramussen a dit que DLH cesserait d’acheter du bois des entreprises libériennes jusqu’à ce que l’ONU ou l’Union Européenne certifie que la situation est devenue normale, selon la transcription de son interview avec la radio danoise. La transcription a été fournie par un membre de Nepenthes, une ONG danoise et publiée sur le site web des amis du libéria.
« Nous prenons la lettre très au sérieux », a dit Rasmussen. « Nous ne pouvons pas accepter de faire du commerce avec des compagnies qui violent les droits de l’homme ou pratiquent la destruction des exploitations forestières. Nous avons donc, sur la base de ceci, décidé de cesser de faire du commerce avec ces entreprises et de faire notre commerce dans d’autres pays. »
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