« L’hygiène élémentaire et le manque d’installations sanitaires adéquates dans la région sont décrits comme les facteurs les plus importants, mais des experts médicaux et des travailleurs humanitaires ont été déployés dans les zones où est apparue la maladie », a dit Gamariel Binamungu, directeur général du laboratoire national de référence. « Tous les médicaments nécessaires ont été fournis afin de chercher à prévenir la propagation de la maladie ».
« Grâce à l’aide offerte par le gouvernement et les volontaires, notamment sous forme de produits chimiques pour la purification de l’eau et de matériel de promotion de l’hygiène, la maladie est sous contrôle », a dit à IRIN Fabien Sindayiheba, maire du district de Rusizi, dans le sud-ouest.
« Les problèmes d’hygiène constituent le principal facteur d’apparition du choléra, et les cours d’eau sont la principale source d’eau de la plupart des familles de la région », a fait remarquer M. Sindayiheba. « Nous avons adopté des mesures pour fournir une aide médicale aux patients infectés afin qu’ils ne propagent pas la maladie aux villages voisins ».
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