Des cartes topographiques électroniques pouvant se révéler vitales pour la surveillance et la planification humanitaires, ont été officiellement lancées mercredi à Bujumbura, rapporte le Fonds des Nations Unies pour l'enfance (UNICEF).
"Dans les situations humanitaires comme celle existant au Burundi, la
technologie GIS [sigle pour Geographic Information System , ou Système d'Information Géographique] offre un excellent outil pour suivre la trace des déplacements de population et de leurs retours chez eux, et pour observer les tendances sociales générales", a déclaré Raquel Wexler, responsable du Projet de planification de l'UNICEF au Burundi.
Ces cartes sont devenues disponibles au Burundi, pour la toute première
fois, pour être utilisées par les planificateurs gouvernementaux, les
agences de l'ONU et les ONG. Ces documents permettront aux planificateurs de surveiller les indicateurs sociaux aux plans provincial et communal, et même
par colline et subcolline, précise l'UNICEF.
"Il existe une forte demande pour ces cartes de la part du Gouvernement et
des partenaires des agences des Nations Unies. Nous sommes heureux de les rendre enfin disponibles sans frais pour qu'elles servent des buts
humanitaires", d'ajouter Mme Wexler.
Le département de la population du ministère de l'Intérieur et le Projet de planification de l'UNICEF au Burundi, ont lancé la première version des cartes administratives électroniques du pays "au cinquième niveau sous-national". Prenaient part à la cérémonie de lancement des
fonctionnaires et responsables du Gouvernement ainsi des représentants des Nations Unies et des donateurs.
L'UNICEF a précisé que la prochaine phase de son projet GIS mettrait
l'accent sur la mise à jour et la collecte d'informations sur les
infrastructures sociales, en collaboration avec des partenaires du
Gouvernement et des Nations Unies. Par exemple, signale Mme Wexler, en
obtenant l'emplacement des écoles de tout le pays, on pourrait développer
une base de données détaillées pour analyser des tendances et renseignements comparatifs sur les inscriptions dans les écoles et sur l'éducation des filles au plan communautaire.
"Nous pouvons aussi comprendre la distribution géographique des événements, comme celle des victimes de mines (antipersonnel) ou les récents déplacements de population", dit-elle.
"Dans les situations humanitaires comme celle existant au Burundi, la
technologie GIS [sigle pour Geographic Information System , ou Système d'Information Géographique] offre un excellent outil pour suivre la trace des déplacements de population et de leurs retours chez eux, et pour observer les tendances sociales générales", a déclaré Raquel Wexler, responsable du Projet de planification de l'UNICEF au Burundi.
Ces cartes sont devenues disponibles au Burundi, pour la toute première
fois, pour être utilisées par les planificateurs gouvernementaux, les
agences de l'ONU et les ONG. Ces documents permettront aux planificateurs de surveiller les indicateurs sociaux aux plans provincial et communal, et même
par colline et subcolline, précise l'UNICEF.
"Il existe une forte demande pour ces cartes de la part du Gouvernement et
des partenaires des agences des Nations Unies. Nous sommes heureux de les rendre enfin disponibles sans frais pour qu'elles servent des buts
humanitaires", d'ajouter Mme Wexler.
Le département de la population du ministère de l'Intérieur et le Projet de planification de l'UNICEF au Burundi, ont lancé la première version des cartes administratives électroniques du pays "au cinquième niveau sous-national". Prenaient part à la cérémonie de lancement des
fonctionnaires et responsables du Gouvernement ainsi des représentants des Nations Unies et des donateurs.
L'UNICEF a précisé que la prochaine phase de son projet GIS mettrait
l'accent sur la mise à jour et la collecte d'informations sur les
infrastructures sociales, en collaboration avec des partenaires du
Gouvernement et des Nations Unies. Par exemple, signale Mme Wexler, en
obtenant l'emplacement des écoles de tout le pays, on pourrait développer
une base de données détaillées pour analyser des tendances et renseignements comparatifs sur les inscriptions dans les écoles et sur l'éducation des filles au plan communautaire.
"Nous pouvons aussi comprendre la distribution géographique des événements, comme celle des victimes de mines (antipersonnel) ou les récents déplacements de population", dit-elle.
This article was produced by IRIN News while it was part of the United Nations Office for the Coordination of Humanitarian Affairs. Please send queries on copyright or liability to the UN. For more information: https://shop.un.org/rights-permissions
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