Le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) a déclaré mardi avoir -
avec le secours des volontaires congolais de la Croix-Rouge - avoir évacué des centaines de morts et de blessés à la suite des combats qui ont éclaté,le 14 juin, dans la capitale de la République du Congo, Brazzaville.
A ce jour, le CICR a transporté 17 personnes dans les hôpitaux de la ville
et transféré 19 corps à la morgue. Dans un communiqué publié mardi, le CICR informe avoir fourni aux hôpitaux militaires des médicaments, des bandages et des fournitures pour soigner les fractures osseuses.
Grâce à cette initiative,l'association a pu maintenir des « contacts
étroits » avec l'armée et la police pour garantir la sécurité de son
personnel sur place. Ce facteur a permis aux émissaires du CICR et aux
volontaires de la Croix-Rouge recrutés sur place « d'effectuer leur travail
humanitaire sans entrave et sans incident ».
Le CICR a effectué, dimanche, une évaluation des besoins des personnes
déplacées. Deux jours plus tôt, le Bureau de l'ONU pour la coordination
humanitaire à Brazzaville a déclaré qu'au moins 10 000 personnes avaient fui la ville au cours des 48 heures de combats entre forces gouvernementales et milices Ninja. Brazzaville a été le siège de deux attaques soutenues dans
les quartiers nord-est de la ville et dans la base militaire située non loin
de l'aéroport international à Maya Maya, d'après des informations de l'ONU.
Dans le cadre de son mandat, le CICR a rappelé à toutes les parties au
conflit leur devoir de respecter les principes et règles du droit
humanitaire international applicable aux conflits armés non internationaux.
Le CICR a également appelé les commandants à maintenir la discipline parmi leurs troupes afin de garantir que leur conduite envers la population civile suive à tout moment les principes énoncés plus haut ».
avec le secours des volontaires congolais de la Croix-Rouge - avoir évacué des centaines de morts et de blessés à la suite des combats qui ont éclaté,le 14 juin, dans la capitale de la République du Congo, Brazzaville.
A ce jour, le CICR a transporté 17 personnes dans les hôpitaux de la ville
et transféré 19 corps à la morgue. Dans un communiqué publié mardi, le CICR informe avoir fourni aux hôpitaux militaires des médicaments, des bandages et des fournitures pour soigner les fractures osseuses.
Grâce à cette initiative,l'association a pu maintenir des « contacts
étroits » avec l'armée et la police pour garantir la sécurité de son
personnel sur place. Ce facteur a permis aux émissaires du CICR et aux
volontaires de la Croix-Rouge recrutés sur place « d'effectuer leur travail
humanitaire sans entrave et sans incident ».
Le CICR a effectué, dimanche, une évaluation des besoins des personnes
déplacées. Deux jours plus tôt, le Bureau de l'ONU pour la coordination
humanitaire à Brazzaville a déclaré qu'au moins 10 000 personnes avaient fui la ville au cours des 48 heures de combats entre forces gouvernementales et milices Ninja. Brazzaville a été le siège de deux attaques soutenues dans
les quartiers nord-est de la ville et dans la base militaire située non loin
de l'aéroport international à Maya Maya, d'après des informations de l'ONU.
Dans le cadre de son mandat, le CICR a rappelé à toutes les parties au
conflit leur devoir de respecter les principes et règles du droit
humanitaire international applicable aux conflits armés non internationaux.
Le CICR a également appelé les commandants à maintenir la discipline parmi leurs troupes afin de garantir que leur conduite envers la population civile suive à tout moment les principes énoncés plus haut ».
This article was produced by IRIN News while it was part of the United Nations Office for the Coordination of Humanitarian Affairs. Please send queries on copyright or liability to the UN. For more information: https://shop.un.org/rights-permissions
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