Le manque de financement a signifié bien des occasions perdues dans la campagne d'aide de l'ONU à la République du Congo pour le redressement du pays à l'issue de dix ans d'une guerre civile dévastatrice, en dépit des succès enregistrés dans certains domaines d'activités, a rapporté le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) dans son examen 2001 à mi-parcours sur le pays.
Au 1er août, a indiqué le PNUD, 34,4 pour cent des besoins mentionnés dans son plan avait été financé. Alors que dans les école réparées le taux de présence atteignait 30 pour cent, 1 714 écoles en revanche avaient encore besoin d'être réparées et rééquipées.
Le PNUD a également souligné qu'il avait distribué « la totalité de son stock de préservatifs disponible » et qu'en raison du manque d'argent, bien des activités de sensibilisation au Sida planifiées n'ont pas été mises en œuvre. Une étude récemment sollicitée par l'ONU sur le Sida dans le pays a placé le taux de prévalence du VIH à 14 pour cent dans certaines localités et le manque d'argent pour ces activités dans ce domaine pourrait avoir des « impacts dévastateurs ». En outre, la pénurie de fonds freine la capacité de l'ONU à répondre rapidement et efficacement aux urgences. Cette année, a-t-il poursuivi, les agences de l'ONU au Congo ont été en mesure de distribuer de la nourriture dans des cas d'épidémies ou lorsque les déplacés à l'intérieur sont sortis des forêts, après s'être terrés pendant des années. « Or, sans des ressources suffisantes elles ne sont pas en position actuellement de répondre à des nouvelles urgences », a signalé le PNUD.
Etant donné ces limitations, les agences de l'ONU ont travaillé ensemble ou avec des ONG « pour multiplier l'impact des ressources limitées à leur disposition ». Il a expliqué que chaque mois, de nouvelles actions conjointes sont identifiées et exécutées. La FAO et le PNUD ont coopérer pour aider les communauté agricoles affectées par la guerre à resurgir de la guerre ; l'UNICEF et le Fonds des Nations Unies pour la population ont réparé 40 écoles primaires et 75 centres de santé, avec des vivres du PAM pour les programmes de travail ; la FAO a procuré des semences et des outils au HCR pour distribution à 5 000 familles, notamment des réfugiés de la République démocratique du Congo (RDC). D'autre part, l'UNESCO et le PNUD ont organisé un tournoi de football à Brazzaville comme message de paix à plus de 30 000 jeunes et femmes.
Même sous financée, l'ONU a rapporté qu'elle avait enregistré des succès significatifs, parmi ceux ci : la campagne nationale d'éradication de la polio, la réintégration et la formation professionnelle de pas moins de 7 000 ex-combattants et la récupération de 10 000 armes au moins, ainsi que la fourniture d'aide non alimentaire à 87 000 réfugiés de la RDC.
"Les dix agences actives au Congo sont convaincues que des financements supplémentaires leur permettraient d'étendre davantage leurs activités dans les régions rurales", a-t-il rapporté.
Au 1er août, a indiqué le PNUD, 34,4 pour cent des besoins mentionnés dans son plan avait été financé. Alors que dans les école réparées le taux de présence atteignait 30 pour cent, 1 714 écoles en revanche avaient encore besoin d'être réparées et rééquipées.
Le PNUD a également souligné qu'il avait distribué « la totalité de son stock de préservatifs disponible » et qu'en raison du manque d'argent, bien des activités de sensibilisation au Sida planifiées n'ont pas été mises en œuvre. Une étude récemment sollicitée par l'ONU sur le Sida dans le pays a placé le taux de prévalence du VIH à 14 pour cent dans certaines localités et le manque d'argent pour ces activités dans ce domaine pourrait avoir des « impacts dévastateurs ». En outre, la pénurie de fonds freine la capacité de l'ONU à répondre rapidement et efficacement aux urgences. Cette année, a-t-il poursuivi, les agences de l'ONU au Congo ont été en mesure de distribuer de la nourriture dans des cas d'épidémies ou lorsque les déplacés à l'intérieur sont sortis des forêts, après s'être terrés pendant des années. « Or, sans des ressources suffisantes elles ne sont pas en position actuellement de répondre à des nouvelles urgences », a signalé le PNUD.
Etant donné ces limitations, les agences de l'ONU ont travaillé ensemble ou avec des ONG « pour multiplier l'impact des ressources limitées à leur disposition ». Il a expliqué que chaque mois, de nouvelles actions conjointes sont identifiées et exécutées. La FAO et le PNUD ont coopérer pour aider les communauté agricoles affectées par la guerre à resurgir de la guerre ; l'UNICEF et le Fonds des Nations Unies pour la population ont réparé 40 écoles primaires et 75 centres de santé, avec des vivres du PAM pour les programmes de travail ; la FAO a procuré des semences et des outils au HCR pour distribution à 5 000 familles, notamment des réfugiés de la République démocratique du Congo (RDC). D'autre part, l'UNESCO et le PNUD ont organisé un tournoi de football à Brazzaville comme message de paix à plus de 30 000 jeunes et femmes.
Même sous financée, l'ONU a rapporté qu'elle avait enregistré des succès significatifs, parmi ceux ci : la campagne nationale d'éradication de la polio, la réintégration et la formation professionnelle de pas moins de 7 000 ex-combattants et la récupération de 10 000 armes au moins, ainsi que la fourniture d'aide non alimentaire à 87 000 réfugiés de la RDC.
"Les dix agences actives au Congo sont convaincues que des financements supplémentaires leur permettraient d'étendre davantage leurs activités dans les régions rurales", a-t-il rapporté.
This article was produced by IRIN News while it was part of the United Nations Office for the Coordination of Humanitarian Affairs. Please send queries on copyright or liability to the UN. For more information: https://shop.un.org/rights-permissions
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