"Les ex- combattants sont allés au centre d'inscription à Freetown et, en trouvant que leurs noms n'apparaissaient pas sur les listes de ceux qui recevront une allocation de subsistance aujourd'hui ou cette semaine, ont décidé de marcher dans la ville et de venir quérir une explication dans leur quartier général", a annoncé à IRIN le secrétaire exécutif du NCDDR Francis Kaikai. "Ce n'était pas une protestation", a-t-il dit.
Les ex-combattants "étaient largement ordonnés, bien que certains aient essayé de causer des ennuis mais aussi bien la police que les équipes de sécurité des Nations Unies étaient là pour contrôler cela", a signalé M. Kaikai. Après que des officiels du NCDDR se soient réunis avec les représentants du groupe, les ex-combattants se sont dispersés car ils avaient réalisé qu'ils recevraient leurs allocations à partir de la semaine prochaine.
"Le problème c'est que ces personnes sont d'habitude impatientes et elles veulent toutes avoir la priorité", a indiqué M. Kaikai. Il a affirmé que le NCDDR procure à près de 20 000 ex-combattants une allocation de subsistance de fonds provenant de donateurs et du gouvernement, en attendant des projets de réinsertion appropriés.
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