Des membres du Conseil de sécurité des Nations Unies vont entamer mercredi, une tournée de douze jours en Afrique de l'Ouest, dans le dessein de promouvoir la paix et la stabilité dans la région, où le Liberia et la Côte d'Ivoire sont divisés par une guerre civile.
La mission qui avait été reportée en mai, est présidée par l'ambassadeur Jeremy Greenstock du Royaume-Uni. Elle devait arriver en Guinée-Bissau jeudi avant de se rendre au Nigeria, au Ghana, en Côte d'Ivoire, au Liberia, en Guinée et en Sierra Leone.
Toutefois, il faudra sans doute reporter la halte au Liberia en raison des combats acharnés qui font rage entre les forces gouvernementales et les forces rebelles dans la capitale Monrovia.
Le Conseil de sécurité a annoncé qu'à chaque halte, la mission spéciale procédera à l'examen des problèmes spécifiques à chaque pays et des événements en cours. Elle encouragera à une coopération accrue entre les pays de la sous région. La mission évaluera également les progrès accomplis dans la réalisation des objectifs du Conseil relatifs à la protection des civils et des enfants affectés par un conflit armé.
Une mission humanitaire conjointe regroupant des agences de l'ONU, des donateurs, ainsi que des organisations internationales et non gouvernementales est également en visite dans la région. La Côte d'ivoire a été la première étape de sa tournée dimanche dernier, et elle voyagera également en Guinée et en Sierra Leone.
Le Liberia a été supprimé de son calendrier à la lumière de la détérioration de la situation de la sécuritée à Monrovia. Le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (BCAH/OCHA), a fait savoir que la mission allait en revanche rencontrer à Abidjan, en Côte d'Ivoire, l'équipe de l'ONU au Liberia.
L'examen vise à évaluer les conditions humanitaires et leurs défis dans les quatre pays, et à proposer des réponses spécifiques, notamment pour ce qui est de l'alerte rapide, de la gestion de l'information et de l'intervention, de la planification pour les imprévus et la préparation face aux situations d'urgence. Il consistera également à analyser l'impact des conflits régionaux sur les femmes et sur les enfants.
Le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), le Programme alimentaire mondial (PAM), le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF) et OCHA, participent à la mission, de même que les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France, la Suède, l'Office humanitaire de la Commission européenne (ECHO), l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), Save the Children et l'Oxfam.
La mission qui avait été reportée en mai, est présidée par l'ambassadeur Jeremy Greenstock du Royaume-Uni. Elle devait arriver en Guinée-Bissau jeudi avant de se rendre au Nigeria, au Ghana, en Côte d'Ivoire, au Liberia, en Guinée et en Sierra Leone.
Toutefois, il faudra sans doute reporter la halte au Liberia en raison des combats acharnés qui font rage entre les forces gouvernementales et les forces rebelles dans la capitale Monrovia.
Le Conseil de sécurité a annoncé qu'à chaque halte, la mission spéciale procédera à l'examen des problèmes spécifiques à chaque pays et des événements en cours. Elle encouragera à une coopération accrue entre les pays de la sous région. La mission évaluera également les progrès accomplis dans la réalisation des objectifs du Conseil relatifs à la protection des civils et des enfants affectés par un conflit armé.
Une mission humanitaire conjointe regroupant des agences de l'ONU, des donateurs, ainsi que des organisations internationales et non gouvernementales est également en visite dans la région. La Côte d'ivoire a été la première étape de sa tournée dimanche dernier, et elle voyagera également en Guinée et en Sierra Leone.
Le Liberia a été supprimé de son calendrier à la lumière de la détérioration de la situation de la sécuritée à Monrovia. Le Bureau de coordination des affaires humanitaires de l'ONU (BCAH/OCHA), a fait savoir que la mission allait en revanche rencontrer à Abidjan, en Côte d'Ivoire, l'équipe de l'ONU au Liberia.
L'examen vise à évaluer les conditions humanitaires et leurs défis dans les quatre pays, et à proposer des réponses spécifiques, notamment pour ce qui est de l'alerte rapide, de la gestion de l'information et de l'intervention, de la planification pour les imprévus et la préparation face aux situations d'urgence. Il consistera également à analyser l'impact des conflits régionaux sur les femmes et sur les enfants.
Le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR), le Programme alimentaire mondial (PAM), le Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF) et OCHA, participent à la mission, de même que les Etats-Unis, le Royaume-Uni, la France, la Suède, l'Office humanitaire de la Commission européenne (ECHO), l'Organisation internationale pour les migrations (OIM), Save the Children et l'Oxfam.
This article was produced by IRIN News while it was part of the United Nations Office for the Coordination of Humanitarian Affairs. Please send queries on copyright or liability to the UN. For more information: https://shop.un.org/rights-permissions
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