Selon l'ARI, le responsable des affaires sociales du conseil municipal de Kigali, Antoine Semukanya, a déclaré que les activités des camelots et des enfants des rues étaient devenues une source d'inquiétude publique. Il a démenti les allégations selon lesquelles les forces de sécurité avaient eu recours à la violence lorsque confrontées au problème. "Nous avons eu des cas
où les forces de police ont été frappées par des enfants des rues et des colporteurs," a-t-il précisé.
Il a déclaré que les vendeurs des rues avaient refusé de s'installer sur des marchés où ils pouvaient vendre leurs marchandises. Le gouvernement de la ville prend aussi cette initiative, a-t-il ajouté, pour pouvoir toucher des impôts. La plupart des marchands, a-t-il précisé, fraudent le fisc en vendant leurs produits à la sauvette.
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