division présidentielle spéciale sous le régime de Mobutu et la garde civile présidentielle, a noté RFI. Certains risquent la peine de mort, tandis que d'autres sont passibles de peines allant de 15 à 20 ans d'emprisonnement. Quant à ceux qui seront reconnus coupables de ne pas avoir fait état des deux tentatives présumées de coup d'Etat, ils encourent une peine allant de trois mois à deux ans de prison.
Dans un entretien à RFI, Hubert Kiswaka l'un des responsables de la section Katanga de l'Association africaine pour la défense des droits de l'homme (ASADHO), présent au tribunal, a rapporté des " informations faisant état de divers actes de torture pratiqués par des officiers de l'armée [...]. On compte au total 99 défendeurs et 20 avocats pour leur défense. Nous avons
noté le 4 septembre que le tribunal était très ennuyé car certains défendeurs n'avaient pas de dossier. Le tribunal a déjà pris la décision de relâcher trois prévenus. Nous avons l'impression qu'il n'y a rien de fondé [...] contre eux dans leurs dossiers. "
RFI a précisé que les accusés n'ont pas eu le droit de choisir leur avocat. Certains avocats ont été directement commis par le bureau du procureur tandis que d'autres ont été désignés par l'ASADHO.
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