Le Programme alimentaire mondial (PAM) a rapporté vendredi qu'en collaboration avec d'autres agences des Nations Unies, il effectuerait vers la fin du mois d'août, des contrôles de tous les occupants des camps des personnes déplacées à Freetown et à Waterloo.
L'agence a affirmé que l'effort concernerait aussi le remplacement des anciennes cartes de ration. Le PAM a rapporté que la plupart des déplacés à Barbara et Bailor, à Lungi, juste au nord de Freetown, sont retournés à leurs villages à Kambia, maintenant que le district a été déclaré sûr. La sécurité de Kambia a été assurée par l'armée de la Sierra Leone suite au succès du désarmement des combattants du Front révolutionnaire uni en mai. Le PAM a indiqué que le tiers du nombre original des personnes déplacées était resté à Barbara et à Bailor, en attendant la récolte.
Entre-temps, à Daru, dans l'est du pays, le PAM a annoncé que le flux des réfugiés revenant de la Guinée et du Liberia avait maintenant baissé. Certains des rapatriés revenus récemment, qui étaient bloqués à Kailahun, à l'est de la Sierra Leone, montrent des signes de malnutrition. Le PAM a annoncé aussi qu'avec le HCR, il allait effectuer une estimation dans le district de Kailahun pour déterminer le nombre et les besoins des rapatriés
L'agence a affirmé que l'effort concernerait aussi le remplacement des anciennes cartes de ration. Le PAM a rapporté que la plupart des déplacés à Barbara et Bailor, à Lungi, juste au nord de Freetown, sont retournés à leurs villages à Kambia, maintenant que le district a été déclaré sûr. La sécurité de Kambia a été assurée par l'armée de la Sierra Leone suite au succès du désarmement des combattants du Front révolutionnaire uni en mai. Le PAM a indiqué que le tiers du nombre original des personnes déplacées était resté à Barbara et à Bailor, en attendant la récolte.
Entre-temps, à Daru, dans l'est du pays, le PAM a annoncé que le flux des réfugiés revenant de la Guinée et du Liberia avait maintenant baissé. Certains des rapatriés revenus récemment, qui étaient bloqués à Kailahun, à l'est de la Sierra Leone, montrent des signes de malnutrition. Le PAM a annoncé aussi qu'avec le HCR, il allait effectuer une estimation dans le district de Kailahun pour déterminer le nombre et les besoins des rapatriés
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