Quant aux détenus, M. Ngoy a souligné que "selon [M. Garreton], il estimait qu'il s'agissait d'une violation des droits de l'homme de ces personnes. Je lui ai clairement dit que ce n'était pas la position de la RDC". Toujours selon M .Ngoy, M. Garreton l'aurait également interrogé sur les individus extradés de Brazzaville, capitale de la République du Congo, voisine, soupçonnés d'implication dans l'assassination.
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