L’Organisation mondiale de la santé animale (OIE) vient d’inaugurer sa première représentation en Afrique afin d’harmoniser les méthodes de lutte contre la grippe aviaire qui constitue une menace sérieuse pour les moyens de subsistance et la santé en Afrique.
Après l’ouverture de la représentation de l’OIE en juin, le Dr. Samba Sidibé, représentant régional de l’OIE a indiqué que le continent est particulièrement exposé à la menace du virus mortel H5N1 de la grippe aviaire.
« La grippe aviaire représente une menace sérieuse au développement des filières agricoles et, partant, à la lutte contre la pauvreté », a déclaré le Dr. Sidibé, avant d’ajouter que le manque de financement empêche souvent la mise en œuvre de projets de lutte contre les maladies animales telles que le grippe aviaire.
Le nouveau centre est la seule représentation régionale de l’OIE en Afrique. L’OIE entend ainsi contribuer à l’amélioration de la qualité des informations concernant les maladies animales et protéger le commerce international en fournissant, entre autres, des directives sanitaires pour le commerce mondial des animaux.
Le virus H5N1 a été détecté en Afrique pour la première fois au Nigeria, en février dernier. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), la maladie a décimé des milliers de têtes de volaille dans huit pays africains dont la Côte d’Ivoire, en Afrique de l’Ouest et l’Egypte, en Afrique du Nord.
Après l’ouverture de la représentation de l’OIE en juin, le Dr. Samba Sidibé, représentant régional de l’OIE a indiqué que le continent est particulièrement exposé à la menace du virus mortel H5N1 de la grippe aviaire.
« La grippe aviaire représente une menace sérieuse au développement des filières agricoles et, partant, à la lutte contre la pauvreté », a déclaré le Dr. Sidibé, avant d’ajouter que le manque de financement empêche souvent la mise en œuvre de projets de lutte contre les maladies animales telles que le grippe aviaire.
Le nouveau centre est la seule représentation régionale de l’OIE en Afrique. L’OIE entend ainsi contribuer à l’amélioration de la qualité des informations concernant les maladies animales et protéger le commerce international en fournissant, entre autres, des directives sanitaires pour le commerce mondial des animaux.
Le virus H5N1 a été détecté en Afrique pour la première fois au Nigeria, en février dernier. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), la maladie a décimé des milliers de têtes de volaille dans huit pays africains dont la Côte d’Ivoire, en Afrique de l’Ouest et l’Egypte, en Afrique du Nord.
This article was produced by IRIN News while it was part of the United Nations Office for the Coordination of Humanitarian Affairs. Please send queries on copyright or liability to the UN. For more information: https://shop.un.org/rights-permissions
Partager cet article
