Près de 500 personnes sont sans abris dans la commune de Mpanda, dans la province de Bubanza au nord-ouest du Burundi, à la suite d'une tempête dimanche qui a détruit 102 maisons et une école primaire.
"Certaines des victimes ont trouvé refuge dans les villages voisins, d'autres dorment dehors," a déclaré mardi à IRIN Fidèle Niyonkuru, l'administrateur de Mpanda.
Les zones de Musenyi et de Gifugwe ont été les plus touchées par la tempête qui a détruit les infrastructures de la commune et les récoltes. "Nous sommes encore en train de collecter des informations, mais nous estimons le nombre de victimes à 500," a affirmé Niyonkuru.
L'école primaire de Musenyi, accueillant au moins 1.000 écoliers, a été entièrement détruite, a précisé M. Niyonkuru. Elle aurait dû réouvrir lundi dernier pour le second semestre de l'année.
Les victimes n'ont, pour l'heure, pas reçu d'aide, a dit M. Niyonkuru. Les autorités locales ont toutefois lancé un appel au Fonds des Nations Unies pour l'Enfance (UNICEF) et au ministère en charge des rapatriés et des personnes déplacées. L'UNICEF, a-t-il poursuivi, avait promis de fournir des abris provisoires aux victimes en attendant les livraisons de tôles de fer par le ministère burundais.
L'administrateur a également affirmé que les sans abris auront besoin de nourriture sur le long terme puisque leurs récoltes de maïs et de haricots ont été endommagées.
"Certaines des victimes ont trouvé refuge dans les villages voisins, d'autres dorment dehors," a déclaré mardi à IRIN Fidèle Niyonkuru, l'administrateur de Mpanda.
Les zones de Musenyi et de Gifugwe ont été les plus touchées par la tempête qui a détruit les infrastructures de la commune et les récoltes. "Nous sommes encore en train de collecter des informations, mais nous estimons le nombre de victimes à 500," a affirmé Niyonkuru.
L'école primaire de Musenyi, accueillant au moins 1.000 écoliers, a été entièrement détruite, a précisé M. Niyonkuru. Elle aurait dû réouvrir lundi dernier pour le second semestre de l'année.
Les victimes n'ont, pour l'heure, pas reçu d'aide, a dit M. Niyonkuru. Les autorités locales ont toutefois lancé un appel au Fonds des Nations Unies pour l'Enfance (UNICEF) et au ministère en charge des rapatriés et des personnes déplacées. L'UNICEF, a-t-il poursuivi, avait promis de fournir des abris provisoires aux victimes en attendant les livraisons de tôles de fer par le ministère burundais.
L'administrateur a également affirmé que les sans abris auront besoin de nourriture sur le long terme puisque leurs récoltes de maïs et de haricots ont été endommagées.
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