Dans son discours d'ouverture d'une conférence de deux jours à Kigali sur les effets du trauma, elle a révélé que la plupart de ces femmes avaient été infectée à la suite de viols par les troupes de l'armée rwandaise pendant le génocide en 1994 d'un million de Tutsis et de Hutus modérés. "Cela a été la source d'une angoisse permanente dans de nombreuses familles, les rendant impuissantes," a-t-elle indiqué.
Une responsable du Ministère de la santé, Yvonne Kayitesi, a déclaré que le VIH avait réduit la force de travail du pays et augmenté l'armée d'orphelins survivant dans les rues.
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