déclarations du gouvernement n'ont pas pu être immédiatement vérifiées auprès des autorités du Rwanda et de l'Ouganda.
Environ 200 personnes soupçonnées d'être liées à l'assassinat de l'ancien président Kabila ont été relâchées après qu'une enquête du gouvernement n'ait pu prouver leur participation au meurtre, aurait indiqué M. Luaba. Plusieurs militants des droits de l'homme ont aussi été libérés, ne laissant plus qu'un prisonnier politique en détention, un journaliste, aurait précisé M. Luaba, sans donner plus de renseignements sur les remises en liberté. Les groupes de défense des droits de l'homme ont mis en doute les déclarations du gouvernement et ont demandé la permission de les vérifier. "Connaissant la situation dans notre pays, je pense qu'il reste des prisonniers politiques dans les nombreux cachots privés qui existent à Kinshasa," a affirmé Justin Abongo, président de l'ONG pour la défense des droits de l'homme, ASADHO, dans des propos cités par l'AP.
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