Quatre ans plus tard, presque tous ces déplacés restent dans l’incertitude, coincés dans des camps ou hébergés chez des proches. Ils ignorent quand ils pourront rentrer chez eux et ce qu’ils y trouveront le moment venu.
IRIN a réalisé ce photoreportage dans un camp pour les déplacés originaires de Tawergha, à 90 km de la capitale, Tripoli. Isolé dans la région montagneuse de Tarhuna, le camp reçoit peu d’aide et ses habitants commencent à perdre espoir.
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