Nombre d’entre eux ont été mis au ban de la société à cause de leur travail : certains ont été chassés de chez eux par leur propriétaire et d’autres sont évités par leurs proches, qui ont peur de contracter le virus.
Les organisations humanitaires donnent non seulement du travail et une prime de risque mensuelle aux membres de ces équipes funéraires, mais elles ont aussi offert à certains un logement temporaire.
Aujourd’hui, leur avenir est incertain. Si Ebola disparaît, leur travail et leurs avantages aussi. Mais les craintes associées à Ebola persistent et ces personnes pourraient avoir du mal à retrouver un emploi.
Deux membres d’une équipe funéraire ont raconté leur histoire à IRIN dans ce photoreportage.
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