Les Nations Unies s’apprêtent à acheminer par pont aérien des tentes et des équipements de réponse d’urgence pour venir en aide à quelque 60 000 Angolais expulsés de la République démocratique du Congo (RDC) voisine au cours des derniers mois, a dit le Bureau des Nations Unies pour la Coordination des affaires humanitaires (OCHA) à New York le 28 octobre.
Dans un mouvement d’expulsions réciproques entre les deux pays, plus de 18 000 Congolais ont également été contraints à quitter l’Angola, entraînant un début de crise humanitaire à la frontière entre l’Angola et la RDC ; plus de la moitié des personnes déplacées sont des femmes et des enfants.
Le Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés va acheminer des tentes par voie aérienne et déployer une équipe de réponse d’urgence pour aider les Angolais expulsés, tandis que le Fonds des Nations Unies pour l’enfance fournira des équipements destinés à traiter l’eau, des comprimés de chlore, des bouteille de lait maternisé, des jerrycans d’eau, du savon et des matériaux permettant de recouvrir les latrines.
A la suite de pourparlers le 13 octobre à Kinshasa, la capitale congolaise, les deux pays ont convenu de « stopper immédiatement les expulsions de citoyens de leurs Etats respectifs », mais des témoignages font toujours état de personnes continuant à traverser la frontière dans les deux sens pour rentrer dans leur pays d’origine, bien que le rythme se soit ralenti.
go/he/ail
Dans un mouvement d’expulsions réciproques entre les deux pays, plus de 18 000 Congolais ont également été contraints à quitter l’Angola, entraînant un début de crise humanitaire à la frontière entre l’Angola et la RDC ; plus de la moitié des personnes déplacées sont des femmes et des enfants.
Le Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés va acheminer des tentes par voie aérienne et déployer une équipe de réponse d’urgence pour aider les Angolais expulsés, tandis que le Fonds des Nations Unies pour l’enfance fournira des équipements destinés à traiter l’eau, des comprimés de chlore, des bouteille de lait maternisé, des jerrycans d’eau, du savon et des matériaux permettant de recouvrir les latrines.
A la suite de pourparlers le 13 octobre à Kinshasa, la capitale congolaise, les deux pays ont convenu de « stopper immédiatement les expulsions de citoyens de leurs Etats respectifs », mais des témoignages font toujours état de personnes continuant à traverser la frontière dans les deux sens pour rentrer dans leur pays d’origine, bien que le rythme se soit ralenti.
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