« Pour pouvoir déclarer la fin de l’épidémie, il nous faudra attendre le 17 juin, soit 21 jours après le dernier décès enregistré », expliquait Jean-Vivien Mombouli, conseiller du ministère congolais de la Santé, dans une entrevue accordée à IRIN, mercredi.
Confiant, il a également ajouté qu’il ne craignait pas que d’autres personnes contractent la maladie.
Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), la fièvre Ebola est l’une des maladies virales les plus mortelles que l’humanité ait jamais connues. La transmission se fait au contact du sang, des sécrétions corporelles ou des tissus de l’Homme ou de singes infectés.
La maladie a fait dix victimes en mai dernier parmi les habitants des localités d’Etoumbi et de Mbomo, dans le nord de la Cuvette-ouest.
Le 23 mai, le gouvernement et l’OMS ont annoncé la mise en quarantaine des deux localités.
Selon Mombouli, une équipe médicale « suit encore l’état de 12 personnes ayant été en contact avec la toute dernière victime du virus ».
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